Bonjour à tous! :coucou: :coucou: :coucou:
Certains d'entre vous sont déjà au courant depuis la veille.
Je prends l'initiative via mon blog pour vous faire suivre au jour le jour les nouvelles de notre ami Rikou qui va tenter de rallier la Suisse aux Pays Bas en parcourant le Rhin sur une distance supérieure à 1200 km.
Ce dernier n'ayant pas un réseau et un forfait adapté, les informations circulent au compte gouttes, et je tente de tout regrouper pour vous faire vivre par procuration son périple.
Les choses devraient normalement s'améliorer par la suite et je devrai avoir rapidement des photos et quelques vidéos pour vous en faire profiter.
Sans plus attendre, je vous laisse consulter les liens suivants:
Le Rhin - Jour 1 & 2 (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/06/le-rhin-en-kayak/)
Le Rhin - Jour 3 (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/07/le-rhin-jour-3/)
:good:
génial, encore une belle aventure à suivre en presque directe ... merci Yves de faire le rapporteur
Il continue de nous impressionner le Rikou :eek: .
En plus, je pense que beaucoup se pose la question: où trouve t'il le temps de faire tout ça???? B) . Mais en fin de compte, c'est bien son problème et pas du tout le nôtre, et donc .... Bon voyage mon Rikou. Amuses-toi bien. Retrouves ce que tu aimes tant !!! :coucou:
Tu passeras Vaduz aujourd'hui, capitale du Liechtenstein. J'y suis faire du ski pendant 2 ans, dans un passé déjà bien lointain, mais laissant des souvenirs profonds, car ça a à voir avec ma fille, pas encore présente à ce moment, mais un petit peu quand même :dents: :saint: .
Je suis ton aventure avec beaucoup d'attention. Sois prudent ! Tu rencontreras de trèèèèès grands bateaux plus loin sur ton fleuve!
Merci de nous permettre de suivre le périple d'un des plus mobiles sur ce forum. :good:
Allez Rikou, on est avec toi, même si encore une fois, il t'aura fallu repenser ton parcours. Pragmatique le Rikou :bravo:
Bravo Rikou et merci Yves ! :bravo:
Salut les amis :coucou: :coucou: :coucou:
Toujours pas de photos à vous proposer. :cry2:
Nous nous heurtons à quelques soucis techniques.
Voici quand même quelques informations sur le parcours et le Topo sur Google Map:
https://kayakrhonelacs.com/2019/05/08/le-rhin-jour-4/ (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/08/le-rhin-jour-4/)
Genial, merci Yves de nous permettre de suivre cette aventure
Bonne navigation Rikou :coucou: :coucou:
Merci rake de nous permettre de suivre Rikou :good:
Transmet lui mes encouragements .
Quel personnage ce RIKOU :bravo: :good: , merci Yves pour la retransmission de ce bel exploit :good:
Merci pour le partage. Beau projet cette descente du Rhin, 1200 km quel exploit. J'espère que la météo lui sera clémente...Je vais suivre son parcours avec joie.
@+PS
Hello les amis :coucou: :coucou: :coucou:
Le résumé de l'étape 5 c'est ICI (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/09/le-rhin-jour-5/)
Bonne soirée à tous :coucou:
Il est fou ce Rikou !!!! mais bravo
merci Yves pour les infos
Merci Yves pour ce résumé :good:
Rien de tel qu'une chute de rein pour motiver son périple :D :lol:
Encore un joli projet
Bonne continuation,
Bonsoir à tous!
Après quelques jours d'attente, voici les journées 6, 7, 8, et 9 de notre ami Rikou passées sur le Rhin:
https://kayakrhonelacs.com/2019/05/14/le-rhin-jour-6-7-8-et-9/ (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/14/le-rhin-jour-6-7-8-et-9/)
nikel merci pour le suivis
et Rikou le fou, courage
Au passage pour Yves qui aime le Bourget, dimanche dernier c'était terrible le vent, on a fait 15 bornes, trop dur et casse de gouvernail, mortel
Merci Rake
et bravo à Rikou qui à commencé sous la neige :W
Citation de: basilic le 14 Mai 2019, 22:02:42
Merci Rake
et bravo à Rikou qui à commencé sous la neige :W
IDEM :bravo: :bravo:
(et oui, le 5/5 c'était plutôt dur dur :'(
...)
Bonsoir à tous :coucou: :coucou: :coucou:
Ci dessous le compte rendu des jours 10 à 15 sur le Rhin:
https://kayakrhonelacs.com/2019/05/19/le-rhin-jour-10-a-15 (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/19/le-rhin-jour-10-a-15)
merci, balaise notre Rikou
Merci
Il est fort le Rikou :jumpy:
Merci yves :good:
Quel performance, costaud le RIKOU :good: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo:
Il aurait presque fallu un autre kayak pour les 3 premiers jours, parce que vu les photosça ne semble pas l'idéal :blink:
Question météo, j'espère qu'il kiffe le sale temps :) Maintenant, le temps ne peut que s'améliorer, en espérant
ne pas lui porter la poisse.
Tout bien réfléchi, avec une météo pareil , à part faire du kayak !
Le Rikou, il a une belle descente, j'aimerais pas devoir le suivre en vélo,nimême peut être en Nissan Kachkai.
Je ne te souhaite pas bon vent!
Et hop!!
L'épisode suivant :coucou:
https://kayakrhonelacs.com/2019/05/21/le-rhin-jour-16/ (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/21/le-rhin-jour-16/)
Bonne lecture :good:
Merci Yves.
Quel phénomène ce Rikou !! Déjà devant Düsseldorf !!!
J'espère que le père Rikou aura étudié la carte du fleuve, car aux Pays-Bas - Nederland, le Rhin se divise en plusieurs parties et ne s'appelle plus 'Rhin - Rijn': se sera Haut-Rhin, Bas-Rhin, Waal, Lek et en plus, plusieurs canaux, creusés pour la maîtrise de l'eau, dans ces pays ... bas.
Incredible Rikou :good: :bravo: :bravo: :bravo:
Il faut avouer que je suis le parcours de Rikou en pointillé, mais c'est assez phénoménal comme exploit, compte tenu de cette météo exécrable en ce moi de mai :jap:
:eek: Il faut absolument que quelqu'un l'arrête à Rotterdam parce que lancé comme il l'est, le Rikou, on va se le retrouver au Spitzberg :tux: !!!
Que de chemin parcouru :bravo: :good: , quand j'y pense , à vol d'oiseau il est à peine à 200 bornes de chez moi , ça fait bizarre . Bravo encore Rikou :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: :bravo: .
Il dépote le Rikou :bravo: :bravo:
Il avance le Rikou il avance....
https://kayakrhonelacs.com/2019/05/22/le-rhin-jour-17/ (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/22/le-rhin-jour-17/)
Deux jours d'avance :eek: , Bravo Rikou :bravo: allez Courage en esperant une amélioration de la météo :good: :good:
Je pense qu'il devrai passer par Dordrecht https://www.youtube.com/watch?v=lUTMdaPWwqk (https://www.youtube.com/watch?v=lUTMdaPWwqk) et par Kinderdjik https://www.youtube.com/watch?v=kCtdr8pNaD0
(https://www.youtube.com/watch?v=kCtdr8pNaD0)
Aller Rikou!!! :good: :good: :good:
Tu y es presque!!!!!
https://kayakrhonelacs.com/2019/05/23/le-rhin-jour-18/ (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/23/le-rhin-jour-18/)
:bravo: :bravo: Non seulement il a de l'avance :doucement: mais en plus il parle le néerlandais :lol: :lol: .
Encore Bravo :bravo: et surtout quelle Performance :good: :good: .
Merci à Yves pour ces résumés ;)
Le périple va bientôt toucher à sa fin.
Ci dessous, les deux avant derniers épisodes:
https://kayakrhonelacs.com/2019/05/24/le-rhin-jour-19/ (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/24/le-rhin-jour-19/)
https://kayakrhonelacs.com/2019/05/24/le-rhin-avant-dernier-jour/ (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/24/le-rhin-avant-dernier-jour/)
Salut les amis!!!
Et voilà, ça y est!!!! Rikou pourra inscrire le Rhin dans son tableau de chasse!!!
Voici donc le dernier article: https://kayakrhonelacs.com/2019/05/25/le-rhin-dernier-jour/ (https://kayakrhonelacs.com/2019/05/25/le-rhin-dernier-jour/)
Enormisme
un grand Bravo Rikou
:bravo: :bravo:
Chapeaux bas :bravo: :bravo: :bravo:
Que dire, à part un grand bravo :bravo: :bravo: :bravo:
Bravo Rikou :bravo: :bravo: :bravo:
:bravo: :bravo: :bravo: WHAOW :bravo: :bravo: :bravo:
:doucement: :doucement: :doucement:
Bravo Erik. Merci à toi Yves pour cette retransmission. Y a plus qu'à attendre pour voir les photos.
Chapeau bas Rikou :jap:
Et Merci Encore Yves pour le relai médiatique :jap:
:D Salut à tous.
Bon ! Eh bien me revoilà sur le forum après quelques semaines d'absence.
Tout d'abord un grand MERCI à Yves. Mon gars tu as fait un super boulot. Je ne m'étale pas plus mais je n'en pense pas moins...
Quant à moi il ne me reste plus qu'à préparer l'album photo, vérifier les tracés gps, cogiter un petit CR, et revenir vers vous pour vous montrer tout ça.
Merci de l'enthousiasme que vous avez manifesté au fil des billets de notre ami Yves.
Pour info, je suis arrivé le samedi 25 mai à 12h20, heure officielle, sur la plage en dessous du Haringvlietdam, à l'ouest de Hellevoetsluis, à peut-être une quinzaine de km au sud-ouest de Rotterdam. Et le dimanche 26 mai à 02h45, j'étais chez moi pour fêter l'anniversaire de mon fils, le jour même de ses 8 ans, en famille.
C'est une fois encore difficile de sortir du quotidien imposé par le rythme du périple mais ça va le faire, jusqu'au prochain voyage !
Alors à bientôt :good:
Félicitation Rikou :good:
Le retour au train train quotidien doit-être plus dur que l'aventure elle même !
Encore bravo Rikou, et bon anniversaire à ton fils :happybday:
Encore un :jap2: ENORME BRAVO :jap2: mon Rikou!!!!!
J'ai pris énormément de plaisir à faire partager ton aventure!!!
Hâte de te retrouver sur l'eau :coucou: :coucou: :coucou: :coucou:
Ah oui ! Merci Rake pour le relais :D et SUPER Rikou :bravo: (et vivement les photos :) )
Que dire, tellement impressionnant, bravo l'artiste de la pagaie!
Le tracé GPS est une estimation ou le réel? Pas eu trop de problèmes avec les polices fluviales?
Habitant près de Rotterdam j'aurais aimé t'y croiser mais tu passes tellement vite qu'on a a peine le temps de réagir :p
Concernant les tracés GPS, il s'agit simplement d'une estimation.
Rikou m'envoyait tous les soirs ses coordonnées GPS de son bivouac et j'estimais un tracé "théorique".
(https://7img.net/users/1612/31/16/22/smiles/2946985313.gif) (https://7img.net/users/1612/31/16/22/smiles/2946985313.gif) (https://7img.net/users/1612/31/16/22/smiles/2946985313.gif) Rikou !
Tu vas enfin pouvoir te reposer.
Nan j'déconne!
T'as juste un CR de 20 jours en 1200 bornes à te taper.
:surrender:
ça a du te faire bizarre de reprendre la voiture, et les routes.
Pour ce week-end, ils annoncent jusqu'à 30 ° C avec un grand soleil,
ça va te faire bizarre :D
Un énorme BRAVO pour ce périple !
Hâte de voir les photos et de lire le compte rendu de cette aventure !
Salut :D
Citation de: Kerrigan le 28 Mai 2019, 09:38:05
...
Le tracé GPS est une estimation ou le réel? Pas eu trop de problèmes avec les polices fluviales?
Habitant près de Rotterdam j'aurais aimé t'y croiser mais tu passes tellement vite qu'on a a peine le temps de réagir :p
:D C'est vrai que Rotterdam n'était pas très loin. Cela aurait été une bonne occasion.
Concernant les tracés gps, il s'agit d'estimations, comme l'a dit Yves. Je suis en train de bosser sur les tracés réels.
Quant à la police fluviale, que cela soit en Suisse, en Allemagne ou aux Pays-Bas, elle est très présente. Du moins dans toutes les grandes villes. Et je n'ai jamais été contrôlé. Certains m'ont même fait signe de la main, par courtoisie ou comme cela se fait quand tu souhaites bon vent à quelqu'un.
Citation de: gilles 77 le 28 Mai 2019, 11:37:31
(https://7img.net/users/1612/31/16/22/smiles/2946985313.gif) (https://7img.net/users/1612/31/16/22/smiles/2946985313.gif) (https://7img.net/users/1612/31/16/22/smiles/2946985313.gif) Rikou !
Tu vas enfin pouvoir te reposer.
Nan j'déconne!
T'as juste un CR de 20 jours en 1200 bornes à te taper.
:surrender:
ça a du te faire bizarre de reprendre la voiture, et les routes.
Pour ce week-end, ils annoncent jusqu'à 30 ° C avec un grand soleil,
ça va te faire bizarre :D
Là j'ai affaire à un connaisseur en matière de CR. Et je pèse mes mots. Effectivement, c'est pas du gâteau, surtout que j'ai très vite été en panne de stylo, que j'ai oublié d'en racheter un au cours de mes deux petits ravitaillements, et qu'ensuite j'ai laissé tombé. Mais c'est encore "assez" frais dans la tête, pour pouvoir être retranscrit ensuite.
C'est vrai que le retour au quotidien demande un temps d'adaptation. Pour l'anecdote, c'est moi qui ai conduit au retour. Je faisais des embardées sur la route et avais du mal à juger les distances. Ça faisait "bizarre", comme si j'étais bourré.
Et je te remercie de ta compassion car je sais que tu es passé par ce genre de "phases". :good:
Citation de: Kowa85 le 28 Mai 2019, 21:06:51
Un énorme BRAVO pour ce périple !
Hâte de voir les photos et de lire le compte rendu de cette aventure !
Encore merci pour les "bravos". CR et album photos sont en cours de création :D
:D Pour vous faire un peu patienter en attendant le CR et les photos, voici quelques chiffres :
nb de kilomètres parcourus (après révision et vérification des tracés gps) : 1 194,8 km
dont près de 40 km de portage (41 portages)
Je suis passé à proximité de :
4 centrales nucléaires
13 centrales électriques, hydroélectriques et thermiques
1 chute d'eau (Rheinfall)
J'ai franchi (portages ou glissières) 28 barrages
et j'ai dû subir 4 interdictions de navigation
Plus grosse étape : 98 km
Plus petite étape : 11,9 km
Par contre, je n'ai pas calculé le nombre de coups de pagaie. Désolé !
Bonjour et quelle endurance...
Petite question: tu dis que tu as dû subir 4 interdictions de navigation, peux-tu préciser?
Encore une fois profond respect, j'ai hâte de lire ton CR
PS
S'en doute, le fameux trafic fluvial ou Stéfan, nous en avait toucher un mot il y a quelques temps, sur une discussion du Rhin. ou même certains clubs kayak avaient des difficultés...
:D
J'ai rencontré la première interdiction de navigation matérialisée, au pont de Felsberg, avant d'arriver à Coire (Chur en suisse). Il y en a une autre au pont suivant où l'interdiction court sur 3 km il me semble.
Juste après ce premier pont, il y a un gros seuil infranchissable en k-mer. Peut-être en kayak de rivière mais c'est pas si certain.
Entre le deuxième pont et le camping de Chur, on tombe sur un autre seuil moins puissant mais tout aussi infranchissable en k-mer
Et enfin, juste après le camping, on risque de se faire éclater le museau, pour rester poli, par le creuset de l'entreprise de traitement de graviers pour la fabrication de béton (Calanda Gruppe) qui est balancé par un câble en plein milieu de l'embouchure avec la Plessur (affluent rive droite du Rhin), et râcle le fond de la rivière pour en extraire des tonnes de graviers.
La même configuration se retrouve à Landquart, au confluent avec la rivière du même nom, en rive droite. Les rapides situés avant et sous le pont juste après sont également infranchissables. Le Rhin à cet endroit est frappé d'une interdiction de naviguer.
Et pour finir, l'autre interdiction est matérialisée au pont entre Flurlingen et Neuhausen am Rheinfall, juste après la centrale électrique de Shaffhouse et juste avant les fameuses chutes du Rhin.
:D Pour rebondir sur ce qu'évoque Pacificateur, on peut dire que jusqu'à Bâle, j'ai été tranquille niveau trafic fluvial. Mais à partir de Bâle, et ce jusqu'à la séparation entre la Beneden Merwede et la Nieuwe Merwede, j'ai fait face à un trafic intense et incessant, jour et nuit. Et pas des petites péniches de chez Freycinet, ah non monsieur. Je me suis frotté à des gros machins de plus de 100 mètres, voire plus de 200 mètres, portant sable, béton, charbon, minerais divers, gaz, voitures, tracteurs, camionnettes, containers par centaines pour certains...
Ah oui. Pour info, j'ai suivi le cours principal du Rhin jusqu'à Pannerden au nord (Pays-Bas) et Milligen aan de Rijn au sud (Pays-Bas), là où le fleuve se scinde en deux. Vers l'ouest c'est le Waal, que j'ai suivi, et au nord ouest c'est le canal de Pannerden.
Puis le Waal devient la Boven-Merwede (Merwede supérieure), à Woudrichem, puis la Nieuwe Merwede (Nouvelle Merwede) et enfin la Hollands Diep, à peu près au niveau de la confluence avec l'Amer, avant les ponts de Moerdijk, pour enfin devenir le Haringvliet.
Encore quelques chiffres. Ce périple m'a permit de passer dans les 6 pays suivants :
- Suisse
- Liechtenstein
- Autriche
- Allemagne
- France
- Pays-Bas
Merci pour ces précisions. Que de portages...
Citation de: psim le 30 Mai 2019, 18:39:50
Merci pour ces précisions. Que de portages...
Je pense que j'aurais pu en éviter quelques-uns. Du moins en écourter quelques-uns, car selon les endroits, si j'avais été du bon côté, j'aurais pu rejoindre le fleuve plus rapidement. Pour info, mon plus long portage était de plus de 6 km. Et c'est justement celui effectué pour contourner les interdictions de naviguer aux environs de Felsberg et Coire.
Bravo Rikou, magnifique , impressionnant
Vraiment chouette que l on ait pu te suivre dans dans cette aventure
Merci Yves
:D Hello les amis. Voilà, les photos sont dispo ICI (https://photos.app.goo.gl/N1MJs69xQttY4x6f7). J'ai essayé de localiser au mieux les photos. Alors armez-vous de courage et bon visionnage en attendant le CR qui ne saurait tarder !
Bonjour Rikou :coucou:
Superbes photos . Quel périple !
Certaines photos sont apaisantes , reposantes , par contre d'autres sont effrayantes mais quelle magnifique aventure tu as vécu .
Je pense que ce sont des souvenirs qui vont resté graver dans ta mémoire .
Merci de nous les faire partager :good: :bravo: :bravo:
PS: merci également à Yves qui nous a permis de te suivre pendant ton aventure :good: :good:
Je me régale mon Rikou avec tes photos :inlove: :inlove: :inlove:
Très belles photos, merciJe comprends mieux les difficultés de portage
PS
:eek: :eek: :eek: waoups, et ben dis donc, là au moins c'est clair, ce n'était pas de la rigolade :'( les photos montrent clairement la complexité des portages (surtout au début sur un sentier de montagne) et les conditions météo pas toujours évidentes :blink:
Donc :jap: :jap: :jap: pour cette aventure et encore merci à toi, ainsi qu'à Yves de nous avoir fait partagé cette expédition
Eh bien pour commencer voici les premières lignes du CR concernant mon périple sur le Rhin.
Ça fait dix minutes que je me tiens debout, immobile comme une statue d'airain, transi de froid, trempé, de la tête à la pointe de mes orteils. Les gouttes d'eau dégoulinent le long de la visière de ma casquette. Certaines plus vicieuses ont réussi à s'immiscer dans la manche droite de ma vareuse, par le manchon déchiré à force de tirer dessus pour l'enlever. Le fluide glacial me transperce et je frissonne violemment. Mes mains cependant sont à l'abri, coincées entre ma poitrine et le gilet de flottabilité, cherchant un peu de chaleur corporelle. J'attends que cela se calme.
Je me suis réfugié dans un trou en rive gauche, havre salutaire repéré du coin de l'œil, dans l'intense végétation rivulaire qui borde le Rhin. La grêle me lacérait la paume des mains et la peau du visage depuis près de cinq minutes. Les petits projectiles de glaces rebondissaient avec fracas sur le pont du kayak et sur tout ce qu'il contient, avant de terminer leur chute fatale dans les eaux verdâtres du Rhin. Le vent d'ouest, très violent, les aidait dans leur travail de sape, en les projetant pratiquement à l'horizontale sur toute surface de mon corps dénuée de protection, me faisant l'effet de multiples et rapides petites lacérations.
Le kayak est immobile lui aussi. Il gît devant moi, à quelques mètres, encore à moitié sur l'eau. La surface du fleuve est animée d'un clapotis étrange, à la sonorité rythmée par le choc des billes gelées qui viennent frapper la chape liquide.
C'est le fracas soudain d'un éclair, fendant le ciel grisâtre d'un rai fulgurant, qui me décida à sortir de l'eau pour me protéger du déluge qui s'acharnait sur moi. Faut dire aussi que cela faisait deux jours que la météo était plus que capricieuse. Il fallait bien que ça pète.
C'est mon septième jour de navigation. Je suis parti depuis le 5 mai et à bien y réfléchir, c'est depuis mon départ que la météo n'est pas clémente avec moi. J'aurais pu prendre ça pour un avertissement. Aurais-je dû ? De toute façon cela n'aurait rien changé. Depuis longtemps maintenant, face aux éléments qui se déchaînent j'ai pris le parti de courber l'échine et d'avancer. Même si je suis trempé jusqu'aux os. Même si la pluie m'aveugle. Même si le vent me ralenti. J'avance, coûte que coûte. Tant que je peux le faire. Et si cela devient trop violent je m'arrête et j'attends que ça se passe.
Mon premier jour de navigation je l'ai effectué en grande partie sous la neige.Mon premier portage je l'ai effectué sous la neige. Et mes premiers sentiments sur ce nouveau périple se sont révélés sous la neige.
Le lac Toma, considéré comme la source du Rhin, est situé en Suisse, à environ 2 300 m. d'altitude, dans le même massif d'ailleurs qui donne naissance au Rhône. Ça c'est pour le clin d'œil. Le projet est on ne peut plus simple. Descendre le Rhin en kayak de mer, de sa source jusqu'à la mer du Nord.
Sans portage on apprécie moins d'être sur l'eau. :good: sur les chemins de rando en forêt et en montagne :sweatdrop:
Dans les chiffres , il manque ton poids au départ et à l'arrivée.
Surement pas contre-balancé par la dernière photo :D
Citation de: gilles 77 le 03 Juin 2019, 10:27:34
Sans portage on apprécie moins d'être sur l'eau. :good: sur les chemins de rando en forêt et en montagne :sweatdrop:
Dans les chiffres , il manque ton poids au départ et à l'arrivée.
Surement pas contre-balancé par la dernière photo :D
Je ne me suis pas encore pesé. Mais j'ai dû perdre une bonne dizaine de kilo.
Je me délecte déjà de ses premières lignes qui me font saliver d'impatience pour la suite! :inlove:
MUSSO, LEVY, et toute la troupe n'ont qu'à bien se tenir :good: :good: :good: :good: :good:
.../...
Une fois de plus c'est ma tendre et indéfectible Isa qui a assure la fonction de chef de l'intendance. En tant que telle, elle est chargée de me conduire au point de départ mais surtout elle a pour tâche de venir me récupérer, bien entendu, quand je serai arrivé à destination.
Dès que nous arrivons aux abords des contreforts alpins, la situation nous saute aux yeux et le problème est vite identifié. Les montagnes environnantes ont toutes leurs sommets qui scintillent sous le soleil. Je savais que ce contre-temps pouvait se présenter et sans pour autant l'éluder, j'avais espéré qu'il ne se produise pas et qu'il y ait un peu moins de neige. Mais les chutes régulières de ces derniers jours ont recouvert les cimes d'un épais manteau blanc qui ne laisse planer aucun doute sur la situation au lac Toma qui, je le rappelle, se trouve à plus de 2 300 m. d'altitude.
Plus nous avançons et plus je reconsidère l'idée de commencer à pied depuis le lac. Quoi qu'il en soit, nous nous dirigeons promptement vers la gare de Valendas-Sagogn, qui est le lieu où j'ai choisi de laisser le kayak et tout le matériel, que je récupérerai après mes deux jours de marche, depuis le lac Toma. Enfin, c'est ce qui était prévu.
Arrivés sur place, Isa et moi croisons nos regards dans un gémissement évocateur et fataliste. Le doute se dissipe totalement dans notre esprit. La neige est à portée de main. Luisante, fraîche et en trop grande quantité. La prise de décision est rapide et sans appel. Le départ du périple se fera d'ici, au niveau du pont qui se trouve en face de la gare. Cela me fera une avance de 2 jours sur l'ensemble de l'itinéraire. Je me console ainsi.
Décidément, les périples se suivent et il semblerait que les mêmes causes engendrent les mêmes effets. L'année dernière déjà, les intenses et soudains épisodes neigeux qui sévirent dès le mois de mai sur les hauteurs du Massif Central, m'avaient empêché de commencer la descente de la Loire par un trek depuis le Mont Gerbier-de-Jonc.
Comme pour atténuer notre déception, l'endroit se révèle être magnifique. Le soleil dont l'éclat n'est entravé par aucun nuage, sublime toutes les couleurs. Les contrastes sont saisissants. Je suis face à un panorama digne des cartes postales touristiques, destinées à vanter au mieux les atouts du canton des Grisons. Nous sommes sous le charme.
Tout le matériel est déchargé en vrac, dans un petit carré de verdure près du sentier qui descend en rive gauche. Je n'aime pas les « au revoir » et j'accélère le mouvement. Isa a beaucoup de route à faire et les deux heures d'intermède ne suffiront pas pour lui permettre de bien se reposer avant son trajet de retour.
Nous nous embrassons. Nous nous enlaçons. Isa monte dans la voiture. Isa s'en va. Isa me fait un dernier geste de la main à travers la vitre ouverte de la voiture et puis voilà. Je suis seul avec en toile de fond les montagnes aux sommets blancs, le fleuve aux reflets d'émeraude et le ciel qui conserve pour l'instant, sa toile céruléenne.
Sans transition je charge tout le matériel dans le kayak. L'expérience acquise me permet de ne pas hésiter. Je sais exactement où vont les choses et tout est en place très rapidement. Je regarde l'Ysak avec une auto-satisfaction égoïste qui me met dans de très bonnes dispositions.Toutes mes pensées s'articulent de manière à employer mon temps à la préparation du périple imminent. Cela se fait naturellement.
J'installe le bivouac au bout du chemin, au plus près de la rivière. Je trouve la place idéale sur un tertre en hauteur, où je n'aurai plus qu'à pousser le kayak sur quelques mètres pour le mettre à l'eau. La tente est plantée et tout est paré à l'intérieur. Il est temps de faire un petit tour du secteur, histoire de m'imprégner des lieux. C'est comme un rituel. Un préalable nécessaire garantissant le bon commencement des choses. J'ai besoin de me présenter, de briser la glace, d'assurer lors du premier entretien et de donner une bonne première impression.
En revenant près du camp, j'ai la sensation étrange de n'avoir connu aucune interruption avec mon précédent voyage. Je suis à fond dans ce que je fais et l'intervalle de temps qui est supposé avoir eu lieu entre les deux événements semble ne jamais avoir existé.
C'est une journée de plus dans un périple intemporel, dont la destination n'est pas clairement définie. J'évolue d'une étape à l'autre, d'un bivouac à l'autre, d'une épreuve à l'autre, sans discontinuer.
Je m'assois alors sur un tronc d'arbre charrié par le courant et coincé sous la rive. Les vagues qui viennent lécher les galets gris qui forment une petite plage à deux mètres de moi, attirent mon attention. Mon regard accroche les remous qui se forment derrière de gros rochers en contre-bas. Il descend le long de la rive opposée couverte d'une végétation éparse. Il fini par se poser en aval du pont sur un pêcheur au lancer que je n'avais pas vu arriver. La quiétude m'envahit alors. Elle m'enveloppe comme un duvet protecteur. Mon esprit se vide et je me laisse aller à la simple contemplation. À cet instant, je me dis que je suis à ma place. Je ne voudrais être nulle part ailleurs. Aucune pensée noire ne vient perturber cet état. Tout ce que je contemple respire la simplicité. Je suis tranquille, calme et apaisé.
MERCI pour ces mots, :jap:
:jap: :jap: :jap:
Magnifique Rikou, je tombe seulement maintenant sur ton nouvel exploit, félicitations, surtout dans ces conditions climatiques si mauvaises !! :bravo: :bravo: :bravo: :bravo:
Moi aussi j'ai hâte de lire la suite. Bravo et respect :jap: :jap:
Merci de vos appréciations. Cela me touche, alors je continue...
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Tout d'abord une torpeur glacée commença à me chatouiller les pieds. Puis un clapotement de gouttes qui tombent se mit à résonner dans ma boîte crânienne. J'aurais pu croire que ces deux manifestations n'étaient que rêveries. Seulement elles étaient bien réelles et eurent raison d'un sommeil peut-être un peu trop léger en raison de l'excitation logique que je contenais pourtant. J'avais hâte de plonger ma pagaie dans le Rhin et de sentir filer le kayak à sa surface. Étant maintenant rompu à l'exercice, je ne pensais pas que l'imminence du projet m'aurait rendu légèrement fébrile. Il faut croire que la bulle n'était pas encore complètement hermétique. Comme à chaque fois, c'est la réalité des choses qui me ramène dans le monde des vivants. C'est ainsi que ma première nuit en Suisse fut interrompue inopinément, à un peu plus de 660 m d'altitude.
Le prologue fut froid et pluvieux. Et c'est même une neige soyeuse, se frayant un chemin à travers les maillages de la forêt, qui m'accueillit au petit matin. Certes, ce n'était pas des gros flocons, bien épais, évoluant en une formation condensée. Mais c'était suffisant pour conférer une ambiance feutrée et hivernale au décor qui m'entourait silencieusement.
Les tout premiers coups de pagaie furent donnés avec un contentement et un enthousiasme non dissimulés. J'étais incroyablement heureux malgré cette ambiance de mois de janvier où le gris du ciel se confond avec celui de l'eau, et où parfois l'horizon diffus se pare d'une brume triste.
Les petits amas de cristaux gelés volaient avec grâce. Ils terminaient leur chute délicatement, absorbés dans une dernière étreinte par le fleuve naissant. Face à ce ballet, la joie solitaire qui gagnait tout mon être se transforma peu à peu en un rêve éveillé. J'avais l'impression que les flocons filtraient à travers mon corps, sans heurt, dans une osmose parfaite. Dans les premières centaines de mètres de navigation, je me sentis libéré de toutes les contraintes physiques et matérielles qui nous brident. Noyé dans le décor, faisant corps avec mon environnement comme si j'en étais une extension naturelle. C'était étrangement euphorique de ressentir cela dès le début de l'expédition.
La communion ne dura pas très longtemps et les premières difficultés se présentèrent à moins de 2 km du départ. Le rugissement d'un rapide m'obligea à m'arrêter sur la rive droite et à effectuer ma première reconnaissance. Sous la neige. Bien évidemment.
C'est un nouveau Jack London: ... l'appel de la rivière :bravo:
Citation de: psim le 05 Juin 2019, 17:10:12
C'est un nouveau Jack London: ... l'appel de la rivière :bravo:
Oh la la ! C'est gentil de ta part Psim, mais je suis à des années lumière de Jack London.
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L'immersion ne dura pas très longtemps. Les premières difficultés se présentèrent à moins de 2 km de mon point de départ. Le rugissement d'un rapide m'obligea à m'arrêter sur la rive droite et à effectuer ma première reconnaissance. Sous la neige, bien évidemment. J'avoue qu'à cet instant j'aurais pu verser dans la frustration. En effet, les 14 km/h de vitesse que le GPS affichait dès le commencement du parcours, étaient de très bon augure pour la suite de la descente. J'avais ressenti une jubilation intérieurement et si quelqu'un m'avait vu en cet instant, il m'aurait demandé pourquoi j'arborais ce large sourire presque hébété sur mon visage. Ce premier obstacle n'était pas un écueil isolé. Un chapelet de rochers s'étalait sur un peu plus d'un kilomètre en aval, en une succession de rapides infranchissables en kayak de mer. Lors de la préparation de l'expédition j'avais soigneusement repéré les obstacles les plus imposants. Rapides, chutes et seuils étaient bien localisés. Mais je ne pensais pas qu'ils pourraient être aussi puissants. Les flots verdâtres dévalaient avec force dans un bruit de locomotive. Des gerbes blanches éclataient par-dessus les rochers et s'évanouissaient dans les zones plus calmes trop peu nombreuses. Au-delà de cette portion, le lit du fleuve se tordait sur la gauche en un coude serré m'interdisant toute espèce de reconnaissance. La nécessité d'un portage s'imposa d'elle-même et j'utilisai mon énergie à trouver le meilleur moyen de continuer ma progression. Quoi qu'il en soit, j'avais la confirmation, même si cela n'a jamais vraiment été nécessaire, que naviguer avec un kayak de mer de plus de 5 m, dans un cours d'eau dont certains rapides sont facilement en classe III, voire IV, n'allait pas être aussi simple que de dessiner un trait sur une carte pour matérialiser un itinéraire. Par chance, j'étais dans une zone très touristique et les sentiers de randonnée ne manquaient pas. Je pus contourner cette zone chaotique pour retrouver ensuite un terrain praticable. Le portage s'effectua sur un sentier de la rive droite qui m'éloigna un peu du lit du fleuve. Il me conduisit dans une magnifique clairière où l'atmosphère était emplie de sérénité. La neige tombait doucement au-dessus des prés verts et des chalets alpestres, typiques de cette région. Un ruisseau avait été détourné vers un vieux bachat en bois d'où l'eau s'écoulait en un filet régulier. Le sentier serpentait au milieu des vieilles habitations et montait progressivement vers l'orée de la forêt de mélèzes. Une pluie fine remplaça la neige. J'avais hâte d'entrer dans le sous-bois pour me protéger. Le portage se poursuivit sur un sentier jonché d'aiguilles, dans la senteur fraîche des mélèzes. Ce ne fut pas de tout repos car il fallut négocier certains passages en épingles. Mais l'effort en valait la peine, égayé par le chants de petites mésanges charbonnières, qui m'accompagnèrent un moment de leurs chants mélodieux. Cependant, à deux reprises, par manque de vigilance de ma part, le chariot trébucha sur de grosses racines qui émergeaient du chemin. Le kayak chavira brutalement dans le sens de la pente. Le danger est partout et il faut rester concentré. J'aurais pu briser une armature du chariot et compromettre la suite du périple étant donné le nombre important de portages à réaliser. J'atteignis enfin la ligne du chemin de fer rhétique qui longe le fleuve selon la sinuosité des rives et des ravins qui le bordent. Après un dernier effort pour me frayer un chemin jusqu'à l'eau, je pus remettre le kayak à flots.
:D Salut la compagnie. Voici un topo un peu plus précis de ma descente du Rhin. A voir dans les carnets sur expemag : ICI (https://www.expemag.com/carnet/descente-du-rhin-en-kayak-de-mer)
Superbe CR , je suis arrivé à Abbaye de Rheinau (CH) juste apres les chutes du Rhin . Je lis le détail de ton périple pour me détendre apres l'avoir suivi
il y a quelques mois par l'intermédiaire d'Yves Cornetto . je ne veux pas lire tout d'un seul coup , cela restera mon moment de détente chaque soir apres le boulot. En attendant de lire la suite demain , bonne continuation dans tes futures aventures . Au plaisir peut être de se rencontrer un jour sur les lacs savoyards . :good: :good: :bravo: :bravo: :coucou: :coucou: .
:bravo: :bravo: :bravo: :good: :good: :good:
Et bin ma fois, j'ai bien du retard à voir les photos, lire le CR et consulter le topo sur expemag.
J'ai ajouter 2 questions sur 2 photos qui me sembles énigmatiques.
Citation de: annickemmanuel le 04 Septembre 2019, 14:52:33
J'ai ajouter 2 questions sur 2 photos qui me sembles énigmatiques.
/quote]
Il s'agit de quelles photos ? je ne vois rien sur le carnet expemag !
Citation
Il s'agit de quelles photos ? je ne vois rien sur le carnet expemag !
ah non, j'ai ajouté mes questions directement dans google photo.
Je viens de les retrouver avec la légende suivantes, mais ça ne me dit toujours pas ce que c'est?
1 Barrage à proximité de Burkheim (DE) comment fonctionne t il?
2 Port de Kehl (DE) des cheminées qui rejettent ou aspirent quoi?
:D En ce qui concerne le barrage, il doit faire partie de l'ensemble qui comprend la centrale de hydroélectrique de Marckholsheim (67) et l'écluse. On y accède en continuant sur le chenal de gauche. C'est un système de vannes comme sur les barrages du Rhône.
Quand aux jolis tuyaux colorés. J'ignore totalement ce que c'est. Rien n'en sortait, ni substance, ni son. Rien n'entrait. Du moins rien de visible, d'audible ou d'odorant
Je n'ai rien trouvé sur internet... Le mystère reste entier !
Merci rikou pour le barrage
Et merci pour les cheminées qui m'ont réactivées mes méninges en pur perte pour le .moment :jumpy: