Tenir son kayak dans les déferlantes

[Jean-Francois29200]

la façon de tenir son kayak de mer dans les déferlantes a son importance. Le tenir par la pointe arrière n'est pas idéal, le ternir par la pointe avant est nettement préférable.

Argumentaire sur mon blog :
https://www.randokayak.com/tenir-son-kayak-dans-les-vagues/

[Aotearoa]

Merci pour l'article !La vidéo est à propos d'un sauvetage dans les déferlantes pour récupérer quelqu'un ou son bateau et c'est vraiment un cas particulier car en général on retrouve le kayak sur la plage.


Ici ceux qui pratiquent le surfski recommandent de ne pas tenir le kayak dans les déferlantes à côté de la plage si on dessale. La plupart détachent même leur leash de sécurité pour ne pas être entraîné par le kayak dans le cas d'un dessalage, surtout au retour à la plage.
En pleine mer on reste attaché pour ne pas perdre le kayak 

[Jean-Francois29200]

Bonjour Olivier,
pour ma part, je préfère tenir le kayak parce que je suis faignant. Le kayak tenu par la pointe avant me permet de rejoindre rapidement la plage : en me faisant tirer par mon bateau que les vagues poussent vers la plage. Surtout que, quand j'ai le choix, je surfe de préférence des vagues de 50 à 80 cm.
Sinon esquimauter c'est cool et c'est ce que fais le plus souvent, en fait.

[Aotearoa]

Je crois que c'est courageux 
Je ne suis jamais tombé dans les grosses vagues mais j'ai déjà eu de longues « marche arrières » en essayant de franchir une barre. J'aurai peur de m'agripper au surfski.

[Jean-Francois29200]

Je crois que c'est courageux 
Je ne suis jamais tombé dans les grosses vagues mais j'ai déjà eu de longues « marche arrières » en essayant de franchir une barre. J'aurai peur de m'agripper au surfski.

le kayak ponté c'est différent, nous bénéficions d'une plus grande stabilité latérale du fait des 55 cm de largeur du maître-bau. Et puis nous pouvons facilement gîter, ou même esquimauter. Je ne m'agrippe au kayak que dans des vagues peu pentues, (80 cm avant déferlement). Les vagues pentues de plus d'un mètre : j'évite comme la peste, parce que je sais que je n'ai pas assez de technique pour maitriser quoi que ce soit. Cela n'empêche pas de naviguer des houles douces beaucoup plus hautes. Mon maxi, ça a été de naviguer sur une houle de 5 mètres, le 2 novembre 2014. C'était comme un tobogan, mais ça ne déferlait absolument pas au large, où j'étais, entre Belle-île et Quiberon.